Quand j'ai voulu chanter,
J'ai aperçu, au dessus de la mer,
L'aurore qui s'est réveillée
Pour éclairer avec soin notre terre...
Et les vagues chantaient aussi
Leur chant triste de la pluie
Qui les gênaît beaucoup...
Et j'admirais toujours ce paysage
En feuiletant toutes les pages
Où l'on cachait des mots doux...
Ces mots étaient secrets
Comme le ciel en bleu...
Mais ils étaient bien vrais
Comme le vent curieux...
1 комментарий:
La mer et le vent laissent parfois entendre de curieuses rhapsodies, c'est la voix des trépassés que Neptune a invité dans son royaume.
Bravo pour ton beau texte
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